La marque ©
Il y a quelque temps maintenant, sur la Nouvelle République (journal local), un article du Figaro était passé, qui parlait d'un Borderais créateur de chaussures de luxe à New York. Je m'étais dis que le jour où j'irais à NY, je pourrais essayer de le rencontrer. Après mon arrivée, les jours, les semaines sont passés, sans que je ne pense trop à JMC. Le jour de la parade, j'ai pensé qu'en remontant vers Midtown, je pourrais m'arrêter à sa boutique qui se trouve dans Greenwich. J'y arrive vers trois heures de l'après midi, je demande si Jean-Michel Cazabat est la, on me répond que non, puis une vendeuse vient à ma rencontre, elle est française. Je lui explique que je suis du village natal de Jean-Michel. Elle me dit de repasser dans une heure, JMC devrait revenir. Je reviens un peu plus tard, elle me dit qu'il n'est toujours pas là, elle prend alors mes coordonnées. Au moment où je m'apprête à partir, JMC téléphone à la boutique, elle me le passe. Il est super heureux de parler à un Cabilat ! Il me propose de repasser le lendemain. Quand j'arrive le lendemain, il est en train de manger, nous parlons de Bordères de sa jeunesse de la mienne. Il me propose un petit verre de vin et me demande si j'ai mangé. Josy est là aussi, elle travaille avec Jean Michel depuis ses débuts et est originaire de Lourdes. Quand je décide de les laisser, JMC me propose de revenir le vendredi qui suit à sa boutique pour un cocktail de presse où il présentera sa nouvelle collection automne/hiver, et m'invite le samedi chez lui pour une Diner Party. Le vendredi j'arrive vers 17h au magasin, il y a des caméras et des photographes (Josy m'explique qu'il y a Vogue et divers autres magasines de mode), JMC m'accueille chaleureusement, on m'offre une flûte de champagne. Je fait de belles rencontres ce soir là avec des français expatriés, des américains de tous les horizons, des gens de la mode.
Les chaussures
Le samedi soir, j'arrive chez lui vers 19h, et je découvre un très joli appartement situé dans SoHo. Une dame s'occupe de préparer un repas Thaïlandais, les invités commencent à arriver, ce soir là aussi, je fais de superbes rencontres. Le lundi il doit déjà repartir pour Paris pour les affaires.
Je suis allé au culot dans son magasin, me présenter, ce qui a beaucoup plu à Jean-Michel qui m'a dit que se n'était pas tous les jours qu'il croisait un Cabilat à New York. Une rencontre extraordinaire comme on peut en faire uniquement à New York.